Depuis des années, les Nations unies ont mis en place des initiatives visant à protéger les filles et les femmes. Force est de constater que ces résolutions sont restées sans effet réel sur la vie des cibles. C’est pour corriger le tir que l’atelier de Cotonou s’est tenu du 30 juin au 2 juillet 2025.

« Les agendas n’ont pas comblé les attentes parce que très peu vulgarisés. C’est pourquoi il faut faire le plaidoyer pour une Afrique où les droits sont garantis pour tous et toutes », a déclaré Fatim DIALLO, responsable de programme à Equipop.
Trois jours durant, les participants venus de divers horizons ont mûri les réflexions sur les mécanismes à mettre en place pour que toutes les partie prenantes s’impliquent davantage dans la défense des droits des filles et des femmes en Afrique.
A l’issue des travaux, un cocktail dînatoire a été organisé pour rendre publiques les thématiques à développer dans chaque pays. Il s’agit de: plaidoyer pour avoir un documentaire afin de donner l’espoir aux victimes des violences basées sur le genre, agir ensemble pour la paix. C’est une caravane pour sensibiliser sur les violences basées sur le genre et enfin collecter des fonds devant servir à la prise en charge des victimes des violences basées sur le genre.

Des institutions telles que le Pnud, le Fnuap et l’association des femmes avocates du Bénin ont pris la parole tour à tour pour non seulement féliciter les initiateurs mais aussi apporter des idées en vue de l’amélioration des différents concepts. Notons que le projet prend fin en décembre 2026.
Parfait Folly











